GALANIA, la fin d’un monde

UNE SATIRE MUSICALE DE GAUTHIER GALAND

Bienvenue à Galania, un monde au capitalisme débridé, dirigé par un milliardaire tyrannique. Alarmées par l’épuisement des ressources naturelles, des rebelles tentent de résister et de reprendre le pouvoir. Parviendront-elles à sauver Galania ? Un spectacle loufoque et irrévérencieux.

Théâtre de la Rianderie
Dimanche 27 Octobre 2024 à 19h

Adresse : 2 rue du Marquisat, 59700 Marcq-en-Barœul
Tram : Croisé Laroche
Tarif : 10€ en prévente
Durée du spectacle : 1h20


COMPLET

Vendredi 18 octobre 2024 à 20h
Théâtre de la Grange de la Ferme Dupire
80 rue Yves Decugis
59650 Villeneuve-d’Ascq
Métro : Triolo

Samedi 26 octobre 2024 à 20h
Théâtre de la Rianderie
2 rue du Marquisat
59700 Marcq-en-Barœul
Tram : Croisé Laroche

Dimanche 27 octobre 2024 à 16h
Théâtre de la Rianderie
2 rue du Marquisat
59700 Marcq-en-Barœul
Tram : Croisé Laroche


Pourquoi une satire ?

Le monde occidental est à la dérive, en plein péril climatique. Il se rapproche dangereusement de ses limites. On ne peut pas ignorer, bien qu’on ait le nez dedans, à quel point il devient si sérieusement ridicule. Plus on va vers la tyrannie, plus les tyrans ne supportent pas les fous du roi. La satire est un miroir grossissant de la société, son thermomètre. Elle est indispensable car elle joue le rôle de surveillant, d’oxygène démocratique. C’est le bouffon du roi, l’idiot utile. La satire politique s’attaque aux dominations, et aujourd’hui, les dominations sont le capitalisme qui menace la survie de l’humanité, les GAFAs, le patriarcat…

Rêves de civilisation vertueuse : Nos journées et nos nuits portent une part d’utopie, et les germes, peut-être, d’un monde plus équilibré. Voulons-nous un monde encore plus fou, pressé et gourmand ?… Ou une belle rébellion ?

« À ce moment de l’histoire il n’y a plus que deux choix possibles : ou bien la population reprend le contrôle de sa destinée et se préoccupe de l’intérêt général guidée en cela par des valeurs de solidarité et d’altruisme, ou bien il n’y aura plus de destinée pour qui que ce soit. »
Noam Chomsky et Hedward Herman in « la fabrication du consentement»
Agone, 2008.